samedi 31 octobre 2009

Un show incroyable

Je suggère aux baby boomers d'aller lire le descriptif de ce show célébrant le 25ième anniversaire du Rock and Roll Hall of Fame au Madison Square Garden de New York.
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C'est ICI.
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Une suite de méga stars qui ont fait plus qu'y parader en s'y donnant à fond la caisse. Et quand j'ai lu que la foule hurlait les paroles de Gimme Shelter chanté par U2 lorsque la "surprise" nommée Mick Jagger est venu les rejoindre sur scène, j'était klissement jaloux de n'ètre pas sur place. Fiou ! Quel show ! Imaginez simplement le début avec Crosby Stills and Nash qui vous chantent Woodstock, Marakesh Express et Almost cut my hair. J'en braille ... Allez Denys, va brailler toi aussi !

Conte-nous des histoires

Vendredi 11 décembre 20 heures au théâtre de la Licorne : la quinzième édition des Contes Urbains du sieur Yvan Bienvenue qui signe toutes les histoires cette année. Ça va être trash pas à peu près. On y va en gang : j'ai commencé la distribution des 19 billets hier soir !

jeudi 29 octobre 2009

Pour Aveux, j'avoue.

J’avoue que je suis complètement assommé par l’excellence de cette émission du mardi soir à la SRC. Au point d’en devenir pipole. En grattant dans ma mémoire-télé, je pense n’avoir pas été aussi entiché depuis la trilogie d’Omerta. Site web ICI

Tous, je dis bien TOUS, les acteurs et actrices de cette série sont impeccables, y compris le salopard de service (le chum de Jolianne) que je ne connaissais pas et qui doit être salopard dans la vraie vie tellement il joue vrai. Et que dire de Maxime Denommée et son intensité et celle de sa mère Danièle Proulx. Mardi dernier, la scène de la « réparation » a duré 10 minutes, ce qui est une éternité en série télé. Aucune longueur dans ces 600 secondes. Aucune.

Et cette réconciliation, je commençais juste à la savourer quand … paf ! la mère soulagée rencontre un char. Quasiment tombé en bas de mon sofa ...

Et le rythme général de cette série, la musique étrange, les flashbacks mystérieux, l’absence des « beautés » de service remplacées par des visages vrais. De la haute gastronomie télévisuelle.
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C'est la première expérience-télé de l'auteur Serge Boucher qui a cependant plusieurs pièces de théâtre mises en scène par RR Cyr ou Tremblay. Costaude l'oeuvre de ce monsieur Boucher !

Encore ! Encore ! Ne reste que 4 épisodes.

Cauchemar cinématographique

On m'avait attaché et j'étais obligé de regarder le film. Dès le départ, le générique m'informe que la réalisatiom était mixte : Bernard Émond et Léa Pool. Ouch ! En voulez-vous des plans fixes de quarante secondes, des regards intenses, des répliques monosyllabiques songées et des absences d'intrigues ? Je n'en pouvais plus et paf ! Je me suis réveillé et je suis venu vous l'écrire.

mercredi 28 octobre 2009

Mon premier combat de boxe

Je vous ai déjà parlé de ma passion pour la boxe. La chose s’est un peu évaporée au fil des ans mais j’ai toujours frais en tête ces soirées folles et l’ambiance indescriptible autour de l’arène pendant la finale de la soirée. Je parle évidemment de combat en direct, sur place. C’est bien à la télé mais ça n’est pas comparable.

Ma première véritable soirée de boxe professionnelle, c’est tout simplement la plus grandiose et la plus mémorable soirée de boxe tenue à Montréal. Du calibre international et même mondial. Tous les superlatifs sont de mise ici. Pas moins de 46,000 spectateurs entassés dans le stade olympique en ce 20 juin 1980 (hé oui, ça fait presque 30 ans). La grande finale opposera Roberto Duran à Sugar Ray Leonard (qui avait gagné une médaille d’or olympique ici même quatre années plus tôt).

Du gros stock mes amis. J’avais réussi à obtenir deux billets via un scribe du Journal de Montréal. Avec mon chum Denis, nous étions « dans le pit » comme on dit mais, avec nos jumelles, on était bien contents d’être là dans les hauteurs, pour faire partie de l’Histoire. Boxe, drogue et rock and roll !

Mais ce combat mémorable ne fut pas mon PREMIER combat de boxe. C’était le dernier de la soirée. Me rappelle que plus tôt dans la soirée, il y avait eu Eddie Melo contre Fernand Marcotte. Et avant, comme tout premier combat de la soirée, nous avions droit à un boxeur québécois populaire qui se nommait Gaétan Hart. Gaétan qui a même fait l’objet du film « Le steak » de Pierre Falardeau quelques années plus tard. L’adversaire de Gaétan ce soir-là (pour MON premier combat live ) : un dénommé Cleveland Denny des USA.

Au grand plaisir de la foule locale, Gaétan a dominé le combat. Même que dans les dernières secondes du dernier round, il a appliqué un solide crochet qui a expédié Cleveland Denny au tapis pour le compte de l’arbitre.

Avec mes jumelles, je vois Gaétan qui exulte au centre de l’arène, félicité par ses hommes de coin. La foule est contente. Mais dans un coin du ring, ils sont quasiment une dizaine à entourer le perdant toujours étendu au sol.

Gaétan voit la chose (et moi aussi avec mes jumelles) et s’approche du groupe pour satisfaire sa curiosité. Mettons 30 secondes plus tard, il revient au centre de l’arène, se met à boxer frénétiquement des deux bras dans le vide (shadow boxing pour les connaisseurs) puis, 15 secondes plus tard, il stoppe net et quitte la scène en toute vitesse. On ne l’a pas revu. Un peu après, son adversaire est sorti sur une civière, sous les applaudissements polis de la foule.

Deux semaines plus tard, Cleveland Denny décédait sans être sorti du coma. Premier combat auquel j’assistais …

Le hasard.

mardi 27 octobre 2009

Bonne Fête Lou

Elle était mignonne entre Maurice et Cécile le jour de sa première communion, quelque part dans les années soixante.

Aujourd'hui débordée dans ses contrats d'écriture ou de scénarisation, je prendrai quelques secondes de son temps pour lui souhaiter ce Joyeux Anniversaire qu'elle mérite tant.

C'est ma cadette de soeur et je l'aime.

Bonne Fête ... Talou !

lundi 26 octobre 2009

Matou de ruelle

C'est lui le patron dans mon coin de la ville. Je n'ose imaginer ce qu'il adviendrait de ma belle Elsie si elle avait la permission de sortir ...

Quand j'ai pris quelques photos, j'ai cogné dans la vitre pour attirer son attention. En cliquant sur la photo pour l'agrandir, vous conprendrez dans son regard que ça ne faisait pas vraiment son affaire ...

dimanche 25 octobre 2009

Léo de la Main, par Pierre-Léon Lalonde

Vous ne connaissez pas Pierre-Léon Lalonde ?

Mais si, vous le connaissez. C'est lui qui conduit le Taxi la Nuit et qui nous régale, via son blogue, de ces histoires tripantes vécues dans le cadre de son métier nocturne.

Il a répondu à cette brillante invitation de la Presse et nous offre cette nouvelle plantée dans ce décor qui lui est si familier. Allez y lire cette belle rencontre fictive mais tellement ... vraie.

C'est ICI.

vendredi 23 octobre 2009

Un courriel magnifique

Au mois de mars dernier, sous le titre Ado Rouge, je vous racontais comment le prof Roger Geaniton s’était payé ma tête à la cafétéria devant mes ami(e)s avec une blague sexuelle. Ce prof de français, un poète haïtien ayant fui le régime Duvalier, était adoré des élèves. J’avais rougi pas à peu près lorsqu’il avait mentionné un (faux) proverbe haïtien qui disait qu’on mange comme on fait l’amour, moi qui venait d’avaler mon dîner comme un glouton.

C’était il y a … 40 ans ! Je vous transmets in extenso le courriel que j’ai reçu hier matin. Ça me les a sciées et j’étais très ému. Voilà ce que j'ai lu :

"Quel plaisir de savoir par l'article sur un professeur de français dans les Laurentides dans les années 60-70, que je suis encore présent dans le coeur des élèves de l'époque qui sont aujourd'hui des adultes consommés.

Je dis à l'auteur de ce texte que Roger Geaniton est toujours bien vivant, bien qu'il soit un retraité du système des Nations Unies partageant sa vie entre Paris et la Floride.

Il avait laissé le Québec en 1973 pour occuper de hautes fonctions à l'UNESCO à Paris. Restant très proche du cénacle littéraire des écrivains parisiens, il a publié au fil du temps, près d'une vingtaine d'ouvrages et collaboré à des journaux et revues... (Voir sur Google la liste des ouvrages en tapant tout simplement Roger Geaniton).

Par ailleurs, je félicite Planète-Québec que je viens de découvrir tout à fait par hasard. La présentation est excellente. Bonne continuation.

Roger Geaniton, un Québéquois de coeur"

mercredi 21 octobre 2009

Illustre blogueuse

Plusieurs d'entre vous connaissent le blogue des Chroniques Blondes. Alimenté par Geneviève Lefebvre, cette aventure a donné naissance à la populaire web-télé Chez Jules dont je vous parlais récemment.

Vous trouverez ICI le texte découlant de l'entrevue qu'elle m'accordait récemment. Une bien belle personne ...

On arrête pas le progrès

Sur ma rue, le lundi, c’est interdit sur la droite de 12h30 à 13h30. Le mardi c’est sur la gauche, même heure. Faut pas stationner pour laisser la balayeuse/ramasseuse de la ville faire son ouvrage hebdomadaire.

Mardi donc, sur la gauche, un bô char rouge qui brille au soleil. Il est 13h04.

Arrive donc le véhicule … des contraventions. Belle petite cylindrée peu gourmande en essence. Je n’avais pas encore vu ce nouveau modèle. La marque ? Je sais pas mais fort jolie, blanche avec lignes et lettrages rouges.

Le véhicule s’arrête derrière le fautif, question de prendre en note le numéro de plaque. Ils sont deux à l’intérieur. Deux ! Pour se protéger d’éventuels enragés ? Sais pas.

Puis, le chauffeur commence à pitonner sur son petit ordi portable pendant que son collègue passager mange une orange. Le pitonnage fini, le chauffeur avance son véhicule pour être à la hauteur du fautif, avance un peu plus, colle l’aile de son char, saisit le papier qui sort de sa petite machine, ouvre sa fenêtre et place ledit papier sous l’essuie-glace, le tout sans sortir de son véhicule. Ferme la fenêtre et repart trouver un autre … délinquant.

C’est là que j’ai compris pourquoi ils sont deux pseudo-flics dans le char. Quand la contravention à donner est sur la droite de la chaussée, c’est le passager qui pitonne et place le papier sous l’essuie-glace du char fautif, sans sortir du véhicule bien entendu. Non mais quel gaspillage, viaaaarge !

mardi 20 octobre 2009

Les hauts et les bas

Je vous ai parlé de Pierre mon ami qui se présente pour le parti de madamarel dans le district Mile-End du Plateau. Je suis responsable de ses communications, notamment le blogue politique(modernité oblige) qu'il doit tenir sur le site officiel de Vision Montréal.
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Ce matin, il m'appelle pour que nous puissions mettre un texte sur le blogue en mentionnant qu'il faut arrêter de parler du filou Labonté et de parler des vraies choses du programme proposées par le parti. J'ai mis en ligne un texte dont le titre est " Le furoncle crevé, ayons la ... bonté de passer à autres choses". Merci pour la joke.
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Profitant de l'occasion, Pierre me parle de son enthousiasme pour la fréquentation du blogue. Plus de 15,000 visiteurs depuis le 1er octobre ! J'en suis estomaqué. C'est presque'impossible.
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Je vais vérifier sur le compteur interne (j'ai le mot de passe) et j'y lis : 15178. Diantre ! Je suis épaté !
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J'y retourne 15 minutes plus tard et j'aperçois : 15278. Hum ! Ya kekchose qui marche pas.
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J'y retourne encore deux minutes plus tard : 15378.
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J'ai donc appelé mon ami Pierre et lui transmettre cette grosse déception : les chiffres 7 et 8 sont de trop et la vraie lecture, c'est 153 !
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Le succès fut éphémère !!!

lundi 19 octobre 2009

Requiescant in pace

Belle journée jeudi dernier.
L'air frisquet et cet éclairage d'automne si lumineux.
Avec mes deux soeurs, nous sommes allés déposer les cendres de Cécile auprès de celles de Maurice au cimetière de Sainte-Thérèse. Non, je ne me suis pas trompé de chemin comme l'autre fois. C'est Line qui conduisait.

Dix-neuf ans plus tard, ma mère rejoint mon père pour le party éternel. Et nous voilà vraiment orphelins. Sensation étrange mais le calme de cette fin d'avant-midi est venu placer un baume sur mon chagrin. C'était vraiment le moment de le dire : qu'ils reposent en paix.

samedi 17 octobre 2009

Méchant crétin

Benoît Labonté, le numéro deux dans l'équipe Vision Montréal de Louise Harel, aurait reçu $25,000 du célèbre Tony Accurso, le constructeur "à la mode" à Montréal, lors d'un déjeûner tenu en 2008.

Pour sa défense, Benoît Labonté déclare que le déjeûner en question n'est pas inscrit à son agenda.

En fait de comédien, on a déjà vu mieux. Hey ! Inscription à l'agenda ... Ça serait un peu plus crédible s'il nous disait où il était effectivement ce fameux matin-là !

Je travaille aux communications pour un pote à moi qui se présente comme candidat de l'équipe Harel. Il est en bô tabar et songe même à démissionner ... à deux semaines du scrutin.

À suivre ...
Voilà. c'est fait. Il a démissionné. Pas mon chum. L'autre, le filou.

jeudi 15 octobre 2009

Encore Foglia

Le vieux snoro. Frappe encore dans le mille, là où nous n'y aurions pas pensé. C'est ICI.

Imaginez-vous qu'il a inventé un vaccin contre l'hystérie.

Et cette phrrase sublime en conclusion :

" J'ajouterai que la banalisation, si décriée dans ce monde, où la banalité est pourtant l'ultime référence culturelle, la banalisation, donc, à dose homéopathique bien sûr, est un excellent remède è l'hystérie."

Cette manie de voir des choses pas comme les autres. Cré Foglia ...

Allez y lire.

mardi 13 octobre 2009

Pour la fête !

Trois générations ...
Merci Vicky pour la photo

On the road

Un aller-retour Montréal/Trois-Rivières en moins de 3 heures avec 15 minutes de repos au beau milieu, le tout en ce dernier jour de l'Action de Grâce. Faut le faire !

Avec DREW , mon blogueur favori, nous sommes allés reconduire la petite Emmy dans les bras de sa maman dans la cité de Laviolette.

Pas pris une seule photo : pas le temps. Avec deux grandes gueules assises à l'avant, je n'ai même pas pensé sortir ma Canon pour capter quelques couleurs magnifiques dans les arbres.

Un bien bô lundi.

lundi 12 octobre 2009

Dompierre gratissss !

Allez y voir, c'est ICI. Une courte nouvelle de Stéphane Dompierre sur Cyberpresse. Ça s'intitule : Un squeek et deux gros bang.

Ce gars-là a vraiment toute une plume. Cinq minutes de bonheur. Vous verrez bien ...

samedi 10 octobre 2009

Le dix du dix

C'est la fête à James.
Trois ans !
Shit ! J'ai oublié d'apporter ma caméra !

vendredi 9 octobre 2009

Vélocipède

Hier, j’ai encore utilisé mon vélo pour aller au bureau des Postes expédier un paquet pour mon pote Jean-Louis à Winnipeg. Dès les premiers coups de pédales : la misère !

Ce corps vieilli n’en peut plus de forcer de la sorte pour faire avancer la bécane. Me semble-t-il que ça sera ma dernière année comme vélocipède. Trop souffrant et trop exigeant pour ma vieille carcasse.

Rendu à destination (environ un kilomètre), une question m’est venue : comment sont mes pneus ? J’ai vérifié : ils étaient d’une mollesse extrême. Si vous ajoutez mes 245 livres, ils étaient carrément à plat !

Je suis donc allé gonfler ces malheureux pneus coin St-Zotique et Papineau et, une fois remis en selle … j’avais rajeuni de 20 ans ! Ça roulait pas à peu près ! Me sentais quasiment prêt pour le Tour de France.

Morale de l’histoire : vieux cyclistes, vérifiez vos pneus après le début de la saison !

jeudi 8 octobre 2009

Chez Jules TV, saison 2010


Hier soir, je suis passé en coup de vent à la salle Dell’Arte de la rue Jean-Talon. La belle Geneviève Lefebvre (Chroniques Blondes) y procédait au lancement officiel de la nouvelle saison de Chez Jules TV, une série télé-web qui figure parmi les pionnières du genre au Québec, du moins celles qui ont un large auditoire. D’ailleurs, le succès des capsules de Geneviève est tel que Téléfilm Canada apparaît désormais au générique. C’est pas rien !

Je vous ramène cette photo prise à la sauvette. Pendant que le photographe officiel, perché sur sa chaise, dictait ses conseils à la troupe de comédiennes (deux bô gars aussi pour les mettre en valeur ...), j'ai cliqué pour vous ramener ces jolis minets.

Je n’y suis pas resté longtemps parce que j’aurai Geneviève pour moi tout seul la semaine prochaine : je la rencontre pour une entrevue officielle où on parlera d’elle en premier lieu, puis de son métier, de ses succès, de son blogue, de Chez Jules, mais aussi de son premier roman « Je compte les morts », une macabre histoire qui se déroule dans le Griffintown et qui vient tout juste de paraître chez Expression Noire.

Je vous suggère de renouer avec le bar Chez Jules. Ça décolle avec les principales vedettes accotées au bar dans une discussion « très femme » sur les propriétés d’un drink. La tough(Jessica Parker), la nunuche-de-service (Catherine de Léan), la capotée (Maude Guérin) et … dame Sutto, toujours aussi alerte malgré ces printemps accumulés. La paperasse de presse m’indique de nouvelles venues pour cette nouvelle session 2010, notamment Céline Bonnier, Valérie Valois et Mireille Deyglun. Ça promet !

J'ai croisé Janine Sutto comme je sortais de l'édifice. Ce que cette dame est minuscule ! Elle est arrivée toute seule, comme une grande !

lundi 5 octobre 2009

Fais ça court !

Des élections partielles sont prévues au mois de novembre. L'une d'entre elles se déroulera au Québec dans la circonscription de, tenez-vous bien :

Montmagny/L'Islet/Kamouraska/Rivière-du-Loup.

Hey ! Moi, mon comté se nomme ... Gouin.

Tout simplement.

Pourquoi faire compliqué ?

Une comparaison :

Pierre-Antoine Dumouchel-Lafrenière votera dans Montmagny/L'Islet/Kamouraska/Rivière-du-Loup ... Ouf !

Guy Guay votera dans Gouin. Yé !

:-)

dimanche 4 octobre 2009

Mon autre soeur

Je regardais ces 15,000 personnes réunies au parc Maisonneuve pour la traditionnelle grande marche appuyant la recherche sur le cancer du sein avec Mitsou comme porte-parole (eh monsieur !).

Et j’ai pensé aussi à Suzanne, mon autre sœur qui, justement, se faisait opérer il y a deux semaines pour justement enlever une tache merdique sur son sein gauche. Je dis mon autre sœur parce que dans la vie, après Line et Louise, j’ai eu deux autres sœurs : Suzanne et Chantal. Deux filles, deux amies, que j’aime tellement et avec qui j’ai tellement échangé, que je m’autorise à les appeler mes sœurs.

Suzanne donc, qui a passé l’essentiel de sa vie de travailleuse à recevoir les malades au comptoir des urgences à St-Michel, St-Luc et Hotel-Dieu et qui, à son tour, a dû passer sous le bistouri. Pas une mastectomie mais, c’est quand même pas drôle. Avec cette infirmière qui vient la visiter tous les jours à domicile pour refaire son pansement. Et la crainte que j’imagine dans tout ça.

La crainte, ai-je écrit ? Pas chez Suzanne. Du moins ne le montre-t-elle pas. Ni avant, ni après l’opération. Same old stuff semble-t-elle nous dire. Avec la portion de vie pas facile qu’elle connaît depuis deux ans, je la trouve quasi surhumaine d’absorber cet affront de la santé avec une telle désinvolture. Et je l’admire.

Demain après-midi, ça faisait longtemps, mais nous aurons une longue session de placotage pour se retremper dans ce bon vieux temps ou nous exagérions hebdomadairement les agapes pour hypothéquer notre santé. Moins de bière demain, bien sûr. Mais toujours cette amitié indéfectible.

vendredi 2 octobre 2009

Very interesting !

Vous le savez, notre compatriote Guy Laliberté se retrouve dans l'espace, plus précisément dans la station spatiale.

Je vous propose d'aller visionner ce lien (merci Ricdam) qui vous présente un court vidéo (deux minutes) vous permettant de constater comment s'est bâtie cette fameuse station spatiale. Très bien fait et surtout, trrrèèèèsss impressionnant. Allez y voir ! C'est BIG !

jeudi 1 octobre 2009

Ma solitude (air connu)

Voilà, ça y est. Elle est partie. Pour un gros six mois, la blonde-rousse est partie vivre chez sa fille. Les obligations parfois sournoises de la vie, les impondérables, les pas-le-choix …

Je n’ai pas envie de vous en livrer les détails et le pourquoi parce que ça n’est vraiment pas important. Elle va revenir avec le printemps, les oiseaux et les rigoles dans la rue.

Mais d’ici là, ces soirées silencieuses appréhendées ne m’enchantent guère. Compenser en reprenant les sorties et retours nocturnes ? Bof, non, pas vraiment. Clavarder davantage sur ce blogue ? Probablement.

Mais l’habitude de cette présence et de toutes ses dérivées, stimulantes ou ennuyantes, va me manquer terriblement. Je préfère m’obstiner, bouder ou me faire bouder, ronger mon frein et me sentir fru que de parler aux murs et me soulager en riant de Claude Poirier ou Jean-Luc Mongrain.

Une chum de vie, c’est immense dans l’âme et le cœur. Et c’est quand on nous en prive qu’on en pèse la richesse et l’importance. Et le compte à rebours du retour est commencé …

Je ne suis jamais seul avec ma solitude …